La plupart des résidents de Kibera vivent entassés dans des cabanes de tôles.
La pollution par les excréments humains et les déchets en tout genre rend les conditions de vie très difficiles. Les services basiques ne fonctionnent pas bien. Très peu d’écoles proposent un enseignement de qualité ou alors, à des frais inabordables. Les jeunes filles sont réquisitionnées pour les tâches ménagères. Le chômage est très élevé. Le manque d’activités rend les habitants addicts à l’alcool et aux drogues, ce qui augmente les risques de violences faites aux femmes…
Parmi tout cela, une équipe de football, les Kibera Black Stars (KBS), modèles de réussite, sont à la recherche d’un siège social pour rester en Ligue 2, des enfants cherchent un lieu idéal pour apprendre et jouer avec leur club Slum Soka, des femmes n’ont plus d’atelier pour travailler, des résidents voudraient ne plus vivre à côté d’une montagne de détritus…
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